Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.
En voilà un sujet paradoxal dans toute sa splendeur ! D’un côté notre attention a diminué, passant de 12 à 8 secondes en 10 ans (et c’est une très bonne chose d’ailleurs mais j’y reviendrai). Et d’un autre côté, notre cerveau ne prend pas forcément de meilleure décision si nous prenons plus de 5 secondes à réfléchir !
Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.
Défi terminé. En mai je m’étais donné un objectif de lire 12 livres. C’est avec plaisir que je peux affirmer avoir lu 15 livres ce mois-ci. Je vais expliquer pourquoi je suis allé plus vite que prévu, comment j’ai procédé et ce que j’en tire à titre personnel.
À la toute fin de l’article tu pourras consulter la liste des livres.
Lu de plus en plus vite
Il y a plusieurs raisons à ma vitesse de progression. D’une part, j’ai été malin, même si j’ai mélangé les styles de livres, je me suis concentré sur des livres de lecture rapide. Ainsi, en cumulant et combinant plusieurs méthodes je me suis conçu une « technique » personnelle qui me permet de lire vite et de retenir les informations essentielles.
D’autre part, j’ai gagné en efficacité en écoutant des livres. J’avais déjà expérimenté l’écoute des livres avec Homo Deus et Sapiens. Avec un peu de recul je m’aperçois que l’écoute des livres c’est ce qui me demande le minimum d’effort pour une certaine rapidité (pour autant que je puisse prendre des notes).
Après calcul, j’ai écouté 10 livres, très souvent à vélo et c’est vrai que parfois je me rangeais sur le bas-côté d’urgence pour sortir mon téléphone et écrire les idées qui m’ont le plus percuté. Souvent, j’ai mis pause et je répétais la dernière phrase entendue, par exemple : « Apprendre passe absolument par 3 paramètres : motivation, connaissance, répétition. Apprendre passe absolument par 3 paramètres : motivation, connaissance, répétition ».
Retenir les idées principales d’un livre
Pour moi, la technique la plus importante de la lecture rapide c’est la méthode Feynman. Lorsque nous lisons une nouvelle information, une nouvelle connaissance il faut absolument qu’elle passe par le langage, par l’explication.
En effet, notre cerveau est capable d’engranger des tonnes d’informations mais il est vite submergé et ne retiendra que très peu d’entre-elle. Pour créer de nouvelles routes cérébrales il est nécessaire de ressortir l’idée que nous avons dans notre cerveau et la transposer à l’oral.
Lorsque je parle de langage je parle d’explication. Car une information logée dans notre cerveau peut nous faire miroiter que nous sachons, mais au moment de l’explication nous devons structurer nos pensées.
Ma fille a 3 ans, lorsque je lui pose une question elle répond « je ne sais pas ». En lui laissant le temps à la réflexion, elle essaie de poser des mots pour expliquer. Et c’est ainsi qu’elle se rend compte qu’elle sait. La répétition permet de savoir les mots plus rapidement qu’il faut pour expliquer.
Rappelle-toi j’avais dit que notre cerveau comprend tout mais il a besoin de temps pour apprendre. Si nous n’avons pas les idées assez claires pour expliquer un concept c’est que nous ne le savons pas assez. Ainsi on prend « conscience » que nous sommes en train d’intégrer réellement une nouvelle information, une nouvelle connaissance.
Mémoire à court terme à la mémoire à long terme
Toutes nouvelles connaissances nous suggèrent des nouvelles questions et ainsi nous faisons le tour d’un concept et nous allons rechercher des informations complémentaires. Lorsque nous lisons un livre nous devons avoir une relation avec ce livre.
Notre cerveau traite les informations entrantes très rapidement. J’utilise cette rapidité pour survoler les informations que je connais déjà. En allant vite notre cerveau se plaît car en le ralentissant comme revenir plusieurs fois sur la même phrase que nous le fatiguons. Ainsi, il faut aller vite pour aller chercher l’information pertinente, celle dont je ne connais pas pour ensuite arrêter de lire et réfléchir sur ce thème. Enfin, je reprends la lecture et je comprends ainsi mieux la position de l’auteur ou je trouve des informations complémentaires sur ce thème.
La lecture (ou l’écoute) a une autre dimension dans cette manière de lire. En effet, je ne suis plus passif à enchaîner des lignes de lecture mais actif à la pêche à l’information croustillante. Une fois ferrée, j’arrête de lire et je me demande ce que je sais ou j’essaie de trouver une explication. En reprenant la lecture j’ai un feedback immédiat sur mes pensées.
La répétition est la quintessence de l’apprentissage
Avoir la possibilité de pouvoir apprendre un concept à quelqu’un d’autre est la forme la plus simple et la plus efficace de savoir que l’on sait. La relecture est extrêmement intéressante. Notre vision donne un sens aux informations que nous lisons, beaucoup plus que nous le pensons. Ainsi j’ai relu 3 livres et par exemple le livre Libérer votre cerveau de Idriss Aberkane (je l’avais lu il y a bientôt 3 ans déjà). En effet, j’ai pu entrevoir des phrases comme la « gourmandise intellectuelle » lu dernièrement dans Apprendre ! Les talents du cerveau, le défi des machines de M. Dehaene.
Superintelligence (lu en 2018-2019 et que j’ai encore une fois lâché l’affaire… décidément)
Je ne compte pas les blogs et les magazines.
Qu’est-ce que j’en tire personnellement
Lire autant fatigue mentalement. Tout d’abord il est vrai que mon rythme a pas mal changé. Tout d’abord je me rends compte que mon sommeil a été plus long. Après constatation sur mon tracker de sommeil, en effet j’ai dormi beaucoup plus. Pratiquement 20% de plus. J’ai donc laissé tomber la méditation matinale et mes MOOC.
Evolution de la durée de sommeil de avril à mai
La qualité de mon sommeil a été améliorée par la même occasion.
Evolution de la qualité de sommeil du mois d’avril à mai
Quelle est la suite à venir ? Eh ben je ne pense pas lire autant pour le mois de juin même si j’ai déjà lu pratiquement une dizaine de livres. Maintenant que je connais ma « performance » j’ai besoin de trouver mon équilibre. En effet, j’ai commencé par un sprint où je me suis fatigué mentalement. D’ailleurs je le rappelle, il n’est pas nécessaire d’engranger une grande quantité d’information, tout se joue dans l’intégration et la mémorisation à long terme des concepts lus qui est important. Par conséquent, je ne dois pas omettre qu’il existe d’autres formes d’apprentissage.
Finalement, les MOOC, la méditation, l’écriture aussi sont des formes intellectuelles qui permettent d’apprendre, de se questionner, et de structurer ses pensées.
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Le 9 mars 2018 je m’étais lancé un défi celui de lire un livre par mois. À ce jour je comptabilise 13 livres lus (plus 2 mais je les avais abandonnés) !
Personnellement, je ne pensais pas pouvoir lire autant. J’avoue que c’est un super défi qui m’a permis d’augmenter mes compétences. Cela n’a pas été facile, comme tout effort, cela apporte des points positifs.
Le point le plus important dans mes lectures c’est de faire un résumé ici sur mon blog. Cela me force à mieux retenir, à prendre des notes et synthétiser ce que je lis. Ainsi je ne lis pas pour lire dans un but quantitatif mais je me force à améliorer ma mémoire et ma réflexion autour des différents thèmes.
J’ai fait une petite compilation des records et autres fun facts sur cette année de lecture.
Jouer sa peau et Superintelligence (lecture en cours / N.B : livre abandonné au profit de Factfulness dont le billet sort bientôt). Ce sont des livres compliqués qui abordent des sujets dont on a peu l’habitude d’entendre et les sujets présentés sont énoncés sous un angle scientifique.
Mais la palme revient à Homo Sapiens et Homo Deus que j’ai lu à la suite. Ils m’ont fait aimer l’Histoire, redécouvrir ce que l’Homme a été sous un autre angle. L’écriture a une tonalité piquante parfois et remet en cause des préceptes forts ancrés dans nos civilisations aujourd’hui.
La lecture la plus pénible
Joel De Rosnay : je pensais que j’allais m’éclater en lisant son livre mais en fait non. Je n’ai même pas fait de billet car je me suis arrêté au milieu de livre. J’ai fermé et rangé définitivement le livre quand l’auteur dit que le meilleur régime comporte 2 verres de vin rouge par jour… et 2 pages plus loin il écrit « [la consommation de] cigarettes et d’alcool rendent notre microbiome malade ».
S’en était trop ! Je l’ai twitté en pensant peut-être avoir une réponse plus complète ou qu’il revient sur sa position ou me montrer quelle étude le conforte dans cette position, rien de tout ça !
WHAT? @derosnayjoel recommande de boire 2 petits verres de vin rouge QUOTIDIENNEMENT 😱😱. Je ne pense pas que le tanin compense le poison "alcool"… Qu'en dites vous ? pic.twitter.com/QMdHf7yV80
Vous savez l’alcool tue des millions de personnes chaque année. En France il est suggéré de ne pas boire plus de 2 par jour et pas tous les jours. Si tu veux savoir si tu bois trop regarde sur ce lien.
Si je pouvais j’essaierai de lire encore davantage
Cependant, je pense qu’un livre par mois c’est déjà un objectif élevé. Non c’est une pensée limitante. Maintenant que j’ai obtenu un bon rythme je pense que je devrais lire plusieurs livres en même temps. Peut-être 4 ou 5 voire plus. Cela parait un fou, pourtant quand nous étions à l’école nous avions plus d’une douzaine de matières différentes et nous arrivions à suivre toutes les matières !
J’ai une vie bien remplie, avant je lisais dans le tram et maintenant je suis en vélo donc je n’utilise plus mon temps de trajet pour lire… Je pense que la meilleure façon de trouver du temps pour lire ce sont dans les transports en commun (si tu as la chance d’avoir une place assise évidemment c’est encore mieux).
Le livre reste toujours le meilleur moyen de répandre (et prendre) la connaissance. Nous sommes dans l’économie de la connaissance, il est plus qu’important de savoir lire, décrypter et avoir de l’esprit critique. Cet exercice me prouve chaque jour que les informations que nous lisons peuvent comporter des erreurs.
Des erreurs causées par des biais, mais aussi pour nous faire croire et adhérer à des idées. Dans chaque lecture soulève des questionnements, sans ses questions je ne serai pas là pour écrire ce billet. À vous de jouer maintenant !
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Voici la suite de mon défi d’un livre par mois. Je commence l’année avec trois mois de retard ! Nous sommes en mars et voici le billet pour ma lecture de janvier, qui a été : « Trouver son pourquoi » de Simon Sinek.
Tout d’abord j’avais vu son intervention à TED. Et je dois avouer que je ne m’étais pas passionné plus que ça sur l’histoire autour du « pourquoi ». Alors oui j’étais d’accord (et je le suis toujours), que les marques aient un « pourquoi ». Je pense même que c’est essentiel. Il est vrai, les prospects/clients veulent un produit ou un service qui répondent à leur besoin, mais ce n’est plus suffisant. Comme l’amour dans un couple, il peut être présent mais il n’est pas le seul élément qui cimente une relation. Il faut également voir plus en profondeur. En effet, la profondeur de marque ne se mesure pas à la profondeur de sa gamme, mais à la mission qu’elle s’est donnée.
La culture du service
Je suis actuellement aux USA et je me rends compte qu’ici, les américains ont « la culture du service ». Lorsque l’on rentre dans un restaurant ou dans un magasin, le serveur ou le vendeur vous sourit sincèrement et vous souhaite la bienvenue. Il est content d’être là et il vous fait savoir qu’il est content de vous voir. C’est normal d’avoir l’esprit d’accueil lorsque nous travaillons en clientèle et pourtant combien de vendeurs ne prennent pas la peine de dire bonjour avec un sourire [sincère] en France ? Hormis ce constat, qui est à mon échelle et totalement subjectif, il y a une envie de faire passer au client une belle expérience et un bon moment. En tant que Français, nous le voyons directement comme une manière marketing de nous faire acheter plus. Pourtant si nous sommes dans ce magasin c’est bien que nous avons choisi d’être ici non ?
Pourquoi se plaindre si cela ne change en rien la qualité de mon steak ?
Je me suis fait ce constat toujours aux USA, au restaurant avec des amis. Au milieu de la table se trouve une tablette. Cette tablette permet de voir le menu, de jouer à des jeux, voir les infos et accessoirement payer à la fin du repas. Il y a toujours un serveur qui nous apporte les menus en papier et prend notre commande. En gros, cette tablette « ne sert à rien » car elle ne supplante pas les habitudes.
Pour nos amis américains, ils le constatent eux-mêmes, cela fait « gadget ». Ainsi, cette tablette n’est pas très importante, mais toutefois il la voit comme un outil supplémentaire à qui veut bien l’utiliser. « Pourquoi s’en plaindre si cela ne change en rien la qualité de mon steak ? » me dit mon amie.
Je suis allé vérifier le pourquoi du restaurant pour l’écriture de ce billet ; « la qualité de la nourriture est au premier plan, sans oublier prendre du plaisir, sachant que rien ne s’oppose à vous, pour vous rendre heureux. » Peut-être sommes-nous (les français) des râleurs égocentriques à tel point que nous voyons mal les moyens d’aider les autres (?).
D’ailleurs cette conversation s’est terminée par le fait qu’en France, il manque cruellement d’équipement pour tous types de population. Elle m’a expliqué, lors de sa visite à Paris, qu’il était impossible de prendre le métro pour les personnes ayant des difficultés pour se déplacer. En effet, il manquait ascenseurs et escalators. D’un côté j’ai souri, ensuite j’ai réalisé… « toute personne qui a du mal à se déplacer ». Ce sont les personnes handicapées, ton voisin qui a une entorse mais aussi, femmes enceintes et parents avec des poussettes ! Il est vrai, à titre personnel que je me suis toujours demandé comment faisait les parents avec une poussette et leurs courses dans le métro… Je mets l’idée de côté car cela pourrait faire l’objet d’un nouvel article PAF (Père au Foyer).
Quel est le pourquoi de la France ?
Dès ce constat, je remarque qu’il est tout aussi important pour un Etat de trouver son pourquoi. Cela donne une direction où le gouvernement veut amener son peuple. Idem, quel est le pourquoi de ma ville ? Je n’en ai aucune idée. Je vois des travaux pour améliorer les choses, j’ai la vague impression que la municipalité fait en sorte que les citoyens se sentent bien dans la commune. Mais clairement, quel est le pourquoi de la ville ? Aucune idée. Comme je l’ai expliqué au tout début de l’article, pour une marque c’est déterminant d’avoir un pourquoi. Ainsi, le problème des gilets jaunes est peut-être induit par ce manque de visibilité étatique.
Golden circle
pourquoi
Venons-en un peu au livre. Je parle de trouver son pourquoi mais je ne l’ai pas vraiment défini. Le pourquoi est la raison « fondamentale » de pour quoi nous nous levons le matin. Nous sommes très rapidement tentés de répondre « pour travailler » ou « pour gagner de l’argent ». Mais cela répond au « comment » et « quoi » et non au « pourquoi ». Son « pourquoi » est, en d’autres termes, sa « raison d’être ».
Pourquoi
Pourquoi vous faites ce que vous faites ?
Comment
Comment faites-vous, quelle manière faites-vous ?
Quoi
Quelle est votre offre ? Que faites-vous ? Quels résultats ?
Donc, le golden circle est la structure centrale. Lorsque nous trouvons notre pourquoi, cela nous oriente vers ce que nous aimons vraiment dans notre vie. Ainsi, nous pouvons orienter notre métier, notre vision de la vie, de la famille, nos rapports avec nos amis, cela change tout ! Ainsi nous avons des nouvelles raisons de se lever le matin et donner du sens à sa vie. Ensuite le livre nous apporte des éléments sur comment mettre en place tout le processus.
Trouver son pourquoi
Je dois avouer que j’ai été surpris que des parties entières du livre n’étaient pas à lire pour soi mais à faire lire à un proche. Car oui, trouver son pourquoi ne se fait pas tout seul ni sans effort et encore moins en 10 minutes.
Mon pourquoi en 3h
L’une des premières étapes, il faut écrire 10 souvenirs. J’ai alors écrit ce qui me sont venus à l’esprit. Donc les 4 premiers souvenirs je les ai écrits en 1 ligne. Ensuite, plus je cherchais des souvenirs et plus ils étaient précis et longs.
Mon ami a pris la liste et a commencé à me poser des questions. Petit à petit il a commencé à trouver des pattern (un peu comme une IA qui regarde une base de données et trouver des similarités). En effet, nous utilisons un vocabulaire propre à chacun et ainsi ce sont souvent les mêmes mots qui reviennent. Je ne vais pas décrire les 3 heures de travail mais je peux affirmer que cela a été enrichissant pour nous deux.
Mon pourquoi en une phrase
Je n’ai pas encore défini correctement mon pourquoi. J’ai une phrase mais la tournure nécessite encore du travail. Je ne suis pas totalement à l’aise, mais rien n’empêche de l’écrire aujourd’hui et de reprendre cet article dans quelques semaines (ou mois). Simon Sinek affirme que pour certain, il faut une voire plusieurs années pour trouver leur pourquoi. Rendre les gens plus attentifs et les éclairer sur certains domaines technologiques de manière à ce qu’ils soient plus propices à prendre des meilleures décisions.
Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.
Harari essaie de retracer la vie des premiers Hommes jusqu’à l’âge moderne. Il essaie de nous raconter comment et pourquoi les religions ont été créés, de nous expliquer en quoi l’agriculture ne fut pas une si bonne idée, ou bien est-ce que l’Homme est un loup pour lui-même (Hobbes), et tant d’autres questions.
Pour le coup je n’aime pas l’histoire en règle général mais cet ouvrage permet de mieux percevoir cette discipline. A la fin du livre, l’auteur nous pose des questions sur le devenir de l’Homme. L’Homme a de plus en plus de pouvoir, jusqu’où irons-nous ? Je pense que c’est une ouverture à son deuxième livre : Homo Deus, une brève histoire de l’avenir.
L’imagination de Sapiens
L’une des idées que je retiens de ce livre est la capacité à l’Homme à imaginer des choses qui n’existent pas. De visualiser des idées fictives, d’y croire pour ensuite créer d’autres concepts autour de ce(s) projet(s). En effet, un des exemples le plus frappant est la société anonyme. Notre monde est régi par les entreprises, par un système monétaire qui repose sur la confiance, par des lois et des codes dont un groupe de personne a décidé de ce qui est « bien » ou « mal ». Aujourd’hui, certaines SA sont plus puissantes que des Etats.
Une entreprise est une personne morale, nous sommes bien d’accord qu’une entreprise n’est rien, si ce n’est le pouvoir imaginatif de dire qu’une organisation entrepreneuriale peut avoir du pouvoir et être jugée comme une personne physique. Toute notre économie repose sur ce principe. Tout est créé d’un esprit imaginatif, il a fallu de la persuasion et une fois qu’un certain nombre d’humain y croit alors cette création devient « vraie ». C’est fou !
2 millions d’années d’évolution
Le genre homo n’a pas beaucoup évolué pendant 2 millions d’années. Vivait-il seul ? En groupe ? Pour répondre à ces questions, les historiens suggèrent que la position debout a eu des conséquences incroyables sur la l’évolution de l’Homme. En effet, à la même période de la position debout, le temps de gestation des humains a diminué. Aujourd’hui, quand nous naissons nous avons un gros cerveau et pourtant nous sommes totalement démunis de la capacité de se déplacer, voir, et être un minimum autonome.
Par conséquent, les premiers Hommes (Sapiens) ont donc fait des bébés de plus en plus prématurés. Quand un bébé singe naît, il est déjà débrouillard comme la majorité des animaux d’ailleurs. Pendant 2 millions d’années d’évolution la position debout et la maigreur ont créé un cerveau plus gros. Cependant, cela a causé des naissances plus difficiles pour les femmes.
Position debout et gros cerveau = sociabilité
Les historiens l’affirment grâce à l’évolution des squelettes. Si nous naissons prématurés, cela signifie qu’une personne doit consacrer l’entièreté de son temps à s’occuper du bébé. La tribu est alors indispensable à cette période de l’évolution. L’Homo Sapiens était-il déjà un loup pour lui-même ?
Extinction de l’Holocène
Selon Wikipédia nous vivons la plus grande extinction des espèces depuis 10 000 ans avant J-C. Aujourd’hui l’impact de l’Homme est visible notamment avec les constructions, les villes qui s’étendent, les parcelles d’agricultures, la pollution lumineuse en est une parfaite illustration.
Selon Harari de 70 000 à 1 000 ans avant notre ère, les recherches archéologiques témoignent que toutes les plus grosses espèces d’animaux se sont éteintes en même temps que l’Homo Sapiens est arrivé sur l’île ou le territoire en question. L’Homme a toujours eu un impact incroyable sur le lieu où il s’installe.
En effet, il existait par exemple, en Australie, une mégafaune qui comprenait des animaux endémiques de grande corpulence. Parmi eux, on peut distinguer le Diprotodon (un wombat géant), le Megalania prisca (un énorme varan), le Dromornis stirtoni ou le Bullockornis planei (des grands oiseaux terrestres), le Thylacoleo (un carnivore impressionnant) et le Procoptodon (un kangourou géant)…
Tous ces animaux n’existent plus aujourd’hui autrement que des fossiles. Il n’y a pas de preuve directe que c’est l’Homme qui les a exterminés, on remarque juste que leur disparition coïncide avec l’arrivée de l’Homme.
L’agriculture
L’agriculture est née un peu partout sur Terre vers 10 000 ans avant J-C. Des Hommes du Moyen-Orient ont domestiqué des chats et ont fait pousser du blé alors qu’en Amérique centrale ils faisaient pousser des pois et élevaient des lamas. Pourtant, ces deux peuples n’ont jamais communiqué entre eux.
Un détail intéressant, l’auteur dit que rien ne prouve que la révolution agricole a permis de rendre les Hommes plus intelligents (dans le sens amélioration de la qualité de vie). Les chasseurs cueilleurs n’étaient pas moins touchés par les maladies que les sédentaires. Les fourrageurs avaient une connaissance accrue des animaux, de leurs comportements et des herbes que l’on pouvait manger ou non.
Et l’Homo Sapiens créa le mal de dos
Une chose est relativement sûre, l’agriculture a fait exploser la démographie. Toutefois le fermier vivait moins bien que le chasseur cueilleur car il travaillait plus dans des conditions plus difficiles.
Le mal de dos
Harari affirme que ce sont le blé, l’orge et le riz qui ont domestiqué l’Homme. La culture du blé, a permis de nourrir plus de personne mais pas forcément mieux. Sur un point de vue anthropologique, l’auteur dit que le succès d’une espèce est le nombre de copie d’ADN. Il vaut mieux 1000 copies d’ADN en mauvaise santé que 100 copies en bonne santé. Personnellement je ne suis pas convaincu. Il poursuit avec l’analogie suivante : « On peut faire la même métaphore avec le monde de l’entreprise. Plus les caisses sont remplies plus la société est prospère, et non pas le bonheur des employés. »
Pourquoi le racisme existe ?
Si l’Homme est par définition un animal social, pourquoi le racisme existe-t-il ? Selon l’auteur, les castes ont été créé en Inde pendant l’impérialisme. Quand un pays envahissait un autre pays, les indigènes étaient souvent considérés inférieurs aux conquérants. Par conséquent, la création des castes avait pour but de donner un rôle précis à ces gens dans la société.
Biologiquement, nous sommes révulsés envers les malades. Comment mettre un groupe d’humain à l’écart ? En faisant croire à tout le monde que ce groupe est malade ou qu’il peut polluer la société. Nous revenons à cette capacité incroyable de l’Homme à croire des choses qui n’existent pas.
Superintelligence sociale
Vivre en communauté a permis de créer des liens, de comprendre la confiance mutuelle et de transmettre le savoir. Au fil des années, l’Homme aux quatre coins du monde est parti explorer, découvrir des nouvelles saveurs, motivé par sa soif de connaissance.
L’imagination permet de créer et elle permet de répondre à des questions auxquelles nous n’avions pas de réponse. Notre coopération a permis de créer une superintelligence sociale. Cette superintelligence est d’une telle complexité où il n’est même plus possible de savoir combien de personne ont été nécessaire pour créer un simple stylo !
Et l’Homme créa la religion
Selon l’auteur, la première religion était sans doute animiste. L’un des premiers Dieux est en fait une Déesse (de la fertilité). L’auteur ne cite pas de source mais fait l’analogie suivante : « les animaux et plantes sont devenus muets par conséquent le « Dieu/Déesse » devient l’intermédiaire. Ainsi l’Homme promet une dévotion éternelle « au(x) Dieu(x)/Déesse(s) » et en échange les Hommes peuvent dominer animaux et plantes. »
Bouddha dit « la souffrance née du désir ».
Le nirvana c’est l’anéantissement de la souffrance. Il a passé sa vie à l’expliquer aux gens. Pour les croyants, Dieu existe alors ils se demandent : « qu’attend-il de moi ? ». Pour les bouddhistes, la souffrance existe, ils se disent : « comment faire pour m’en débarrasser ? ».
Ce que je retiens c’est que l’Homme a donné un pouvoir absolu à un surhumain et est donc intouchable. Le Dieu/Déesse ainsi crée(e) est universel/le et fonctionne tout le temps. Pour peu que tout le monde y croie cela permettrait une unification de l’humanité. Une unification permettant la paix entre les peuples et augmenter la coopération. Malheureusement, l’égo n’est jamais très loin…
Et bien tant de questions sans réponse
J’aime beaucoup ces auteurs qui prennent des risques pour essayer d’expliquer des choses inexplicables. Par exemple Laurent Alexandre essaie de nous expliquer ce que va être l’avenir, avec des éléments technologiques et historiques. Ce qui est impossible à deviner en soi.
Yuval Harari essaie de nous expliquer le passé, avec des éléments archéologiques et historiques. Ce qui est impossible à deviner.
Une chose est sûre c’est que nous usons chaque jour de cet formidable essence, dont nous n’avons toujours pas trouvé de limite depuis 2 millions d’années : notre imagination.
Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.
Beigbeder décrit la parentalité après un passé où il a mené une vie irresponsable
Étonnement ayant aussi une petite fille, ce livre colle un peu à ma vie. Evidemment le personnage est fictif et immodéré. Pour rappelle, même s’il parle à la première personne, le personnage est animateur d’un show sur une chaîne YouTube. Le concept est simple, les invités et lui-même prennent un cacheton inconnu. Tous sous drogue aux effets surprenants, ils essaient tant bien que mal de faire l’émission (speed, comportement effréné, bave et déboire). Cela me rappelle cette vidéo où un couple essaie de monter un meuble IKEA sous LSD.
Au détour d’une conversation, j’ai dit que je n’avais pas le permis. D’un côté tant mieux, car de mes 18 jusqu’à mes 26 ans je buvais pratiquement 4 jours sur 7. Le fait de ne pas avoir de permis m’a sauvé et a sauvé des vies c’est certain. Le fait d’être en couple et d’avoir un enfant responsabilise. On s’organise, on se coordonne et on apprend à faire face. Comme Stromae le dit :
« Tout le monde sait comment on fait les bébés Mais personne sait comment on fait des papas ».
Stromae – Papaoutai
Et pour apprendre, il faut deux choses : du temps (donc on arrête les sorties) et de la concentration (on arrête de boire). Lorsque Beigbeder dit, ma fille est ma bouée de sauvetage, tout comme moi, maintenant je ne bois plus (ne fume plus depuis 2016) je prends soin de ce que je mange, de mon environnement et de ce que je fais pour apporter le meilleur à ma vie, ma fille.
Les papas ont tous une parfaite double vie
Une journée typique pour moi. Le matin, on déjeune ensemble, ensuite je prépare les menus de la semaine. Elle se met dans sa poussette, elle sait qu’on va faire les courses. Et puis on passe l’aspirateur ; toujours vers 10 h. Séance de lecture ou on joue à autre chose. A 11 heure, c’est déjà l’heure de faire à manger pour midi. Toujours des légumes avec un peu de féculent, sans oublier le poisson le vendredi (je ne suis pas croyant et ma fille me pousse à me comporter comme tel).
Je m’occupe de ma fille tous les matins et c’est vrai qu’il faut une grande dose d’abnégation. S’occuper d’un enfant est l’antonyme d’égoïsme. L’enfant ne sais pas, tu dois lui apprendre, apprendre à apprendre, et toi tu apprends à être patient, à faire passer tes besoins et envies après lui.
Sinon tu pètes les plombs à chaque minute de ta vie passé avec l’enfant. Dans le récit, sa fille a 10 ans, mais il parle également le bonheur de la naissance. S’occuper d’un enfant c’est une double vie. Ma fille est la seule fille que j’aime au même niveau que ma fiancée. Souvent dans le livre, l’auteur se retient de draguer car il est avec sa fille. Sa fille représente le double, la demi-copie plus jeune de sa femme.
Enfin, il raconte aussi qu’il est très difficile de travailler à la maison avec ses enfants. D’une part, on ne peut pas se concentrer « je reviens dans le salon c’est alors que j’ai marché sur une fraise« . D’autre part, on ne peut que fondre à la vue de cette tendresse, « ses yeux [marrons] qui me font penser à ceux de sa mère« .
Le selfie
Pour l’anniversaire de sa fille, il lui demande ce qu’elle souhaite le plus au monde. Elle lui répond « un selfie avec Robert Pattinson ». Quelque peu choqué par sa réponse, Beigbeder nous fait un topo sur quoi repose le selfie aujourd’hui.
Quel est le rôle du selfie aujourd’hui ? Autant le selfie est personnel car il répond à un besoin de l’ego, de l’égo-système. En effet, pour dire « je suis là car tu n’y es pas » ou « je suis avec cette star car je suis presque autant important, en tout cas plus important que toi ou mon voisin ».
Mais allons dans le vif du sujet, celui du titre « une vie sans fin » qui symbolise l’immortalité.
Un récit de non science-fiction
Vu notre avancée technologique, ce qui relevait autrefois de la science fiction est devenue une réalité pour le moins inquiétante. Son livre par d’un constat : il a 50 ans, il a usé les 2/3 de sa vie (espérance de vie en France est de 78 ans pour les hommes). Son entourage meurt un à un et il veut reculer l’âge de sa mort. En tant qu’enquêteur demi-journaliste, il part, avec sa fille de 10 ans et un robot nippon, dans un tour du monde pour voir, comprendre ce qu’il est possible de faire pour reculer le jour de sa mort.
Une bonne illustration du livre – sa fille parle avec un robot qui a un écran sur son torse.
Étonnement dans un livre au ton parfois grossier, il donne des données précises et véridiques sur l’étendue des techniques biomédicales à ce jour. Les personnes qui pensent tuer la mort sont les transhumanismes. Les NBIC sont un ensemble de techniques qui permettent et permettront de prolonger la durée de vie des Hommes. Même s’il essaie de vulgariser au maximum, force est de constater que le (ou la) bio-génomique est une affaire d’expert.
Il nous emmène dans les hôpitaux et centres de recherche, les cellules iPS, la thérapie génique par CRISPR pour l’allongement des télomères et régénérescence des mitochondries, le séquençage de l’ADN, les cellules souches etc. Une mention spéciale à Laurent Alexandre qui est cité lors d’une discussion à New York (dans le livre).
Les cellules iPS
Beigbeder parle de « science non fiction », car les avancées technologiques dans ce domaine sont incroyables. Par exemple pour les cellules iPS, ce sont des cellules souches adultes issues de notre propre corps, auxquelles on parvient à donner des caractéristiques des cellules souches embryonnaires en injectant des gènes par l’intermédiaire de virus ! En d’autres termes, on rajeunit nos propres cellules en s’injectant un virus ! «
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Comment fonctionne la vieillesse ?
La vieillesse se produit en combinant 7-8 facteurs micro-moléculaires (il y en a sûrement plus, encore en sujet d’études), les télomères, le sang, les mitochondries, l’ADN etc. Entre les lignes, l’auteur nous dit que les eugénistes ont déjà gagné la bataille. Sélectionner les gènes pour nos enfants afin de leur donner toutes les chances de survie (voire esthétique ?) sera courant dans quelques décennies. Par exemple, pouvons-nous dire que Layla Richards est la première humaine génétiquement modifiée ? En effet, cette petite fillette a eu une leucémie alors qu’elle était nourrisson. Les scientifiques ont misé le tout pour le tout et ils ont modifié l’expression génétique de ses lymphocytes T. Cette technique, qui est très controversée ; si Layla a, à son tour un bébé, elle transmettra ses gènes modifiés et naîtra la première lignée d’Homme modifié ?
Commander des organes bio-print
Oui print en anglais signifie « imprimer« , il est possible aujourd’hui de pouvoir imprimer avec une imprimante 3D spécifique, des organes. Je te laisse cette image parlante d’une oreille fabriquée de toutes pièces avec du collagène et des cellules de bovins pour une transplantation humaine.
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Comment bien vivre ?
Bien vivre signifie bien vieillir. La première règle pour vivre longtemps est de bien manger. En gros le sucre, le sel, le gras et l’alcool sont à proscrire au même titre que toutes les drogues.
D’ailleurs l’alcool qui est inscrit dans notre culture et toutes les régions de France est un fléau. Fléau car une personne alcoolisée meurt toutes les minutes en France. Sans compter les décès liés aux maladies créées par la consommation d’alcool… Moi, il y a quelques années à peine, je buvais tant, sans savoir les risques que je prenais. Aujourd’hui j’ai la sagesse de la paternité et l’amour de ma fiancée pour me comporter comme une personne plus saine, plus heureuse et en meilleure santé !
Ma prochaine lecture se porte sur « La symphonie du vivant » de Joel de Rosnay. Dans ce livre, il explique l’épigénétique, l’expression de certains gènes en fonction de notre mode de vie. J’expliquerai tout ça plus en détail lorsque j’aurais terminé le livre !
Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.
Le 5 mars dernier j’avais écris mes routines matinale. Le 5 mars c’était aussi le 65eme jour de l’année alors je m’étais lancé un défi : 300 jours pour courir 1000 km en cumulés.
Plusieurs contraintes
La plus grande contrainte a été physique. J’avais des douleurs au genou. En effet, au bout de 4 mois de course matinale, cumulant environ 16 km par semaine ça faisait un peu trop. D’autant plus que je ne suis pas un professionnel. Il suffit que ma position de course ne soit pas optimale pour que je me fasse mal durablement. Alors j’ai commencé à ralentir les sorties.
Deuxième contrainte, n’est pas des moindres car il s’agit de la famille. Je m’occupe de ma petite tous les matins et elle s’est levée plus tôt en été. Certainement les rayons du soleil y sont pour quelque chose. Le jour se lève plus tôt précipitant le réveil contrairement au noir total que confère la saison hivernale. Par conséquent j’ai dû réduire la durée de ma routine matinale. Autre fait, en septembre, les jours raccourcissent, mais elle avait gardé le rythme de se lever tôt… Et puis elle se réveille la nuit, parfois je me lève trois ou quatre fois. Heureusement que ce n’est pas systématique, mais il suffit d’avoir une nuit agitée pour gratter des précieuses minutes le matin au lieu de se lever pour faire sa routine.
Pour conclure, j’aurais dû me lever une heure plus tôt encore. C’est-à-dire vers les 4h30 tous les matins pour continuer mon objectif. Mais les journées seraient devenues beaucoup trop longues sans possibilité de faire une sieste. Et puis si je me lève à 4h30 cela signifie que je me coucherais encore plus tôt vers les 21h30. Et le soir, le temps est consacré pour le couple, se coucher si tôt n’est bénéfique pour personne.
Des opportunités
En y repensant, je me suis demandé qu’est-ce que j’ai fait à hauteur de 1000. En 300 jours ai-je bu 1000 cafés ? Ai-je mangé 1000 pépito chocolat noir ? Non plus. J’aurais dû me fixer un objectif de lire 1000 pages, car je l’aurai explosé !
J’ai lu depuis début mars jusqu’à ce jour (28 décembre) :
En regardant la liste je m’aperçois que mon historique de lecture en dit long sur mes préoccupations personnelles. Si les liseuses seraient capables de lire ce que tu lis, alors elles en sauraient beaucoup plus sur toi !
Lorsque l’on avance, on se heurte à des obstacles. Ces obstacles sont toujours différents, et demande un lot de concentration, de réflexion sur les mesures à prendre pour continuer à progresser. Je n’ai pas réussi à faire mes 1000 kilomètres et pourtant c’était un objectif audacieux et dans mes cordes. Je ne le considère pas comme une « défaite » mais plutôt comme un tremplin qui m’a donné le temps et l’envie de lire toujours plus. Car là quand je regarde ma pile de livre en attente de lecture…
D’ailleurs si tu veux un article sur une de mes lectures, ou si tu as des lectures à me proposer n’hésite pas à m’en faire part sur les réseaux sociaux.
Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.
Le plus souvent j’écris dans les transports en commun. Mais il m’arrive aussi de consacrer des journées entières à l’écriture. En exclu, je t’invite dans mon intimité d’un jour de congé (oui je ne suis pas écrivain à plein temps j’ai un métier à côté !).
J’ai écris une sorte de planning pour apprenti écrivain, allé c’est parti !
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