Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.
À plusieurs reprises, je parle de l’attention que nous devons mener face aux fake news. Il est important de vérifier un certain nombre d’informations qui composent l’actualité telles que la source, la pertinence des arguments, la date de publication (actualisation de l’information). Si le sujet en question est trop controversé, alors nous pouvons nous référer au consensus scientifique.
Cependant, je viens de m’apercevoir que parfois des scientifiques de renommée internationale, peuvent dire des énormités. Nous allons faire un tour d’horizon et comprendre que le l’argument d’autorité peut frapper à la porte à n’importe quel moment ; l’ultracrepidarisme.
Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.
J’ai toujours été un fervent défenseur de « fêter son anniversaire ». La fête d’anniversaire est une étape, une année de plus. Mes parents ont toujours aimé fêter les anniversaires.
Ma mère allait acheter le gâteau, envoyait les invitations pour mes copains d’école primaire. Mon père se déguisait en clown et faisait des tours de magie. Mon anniversaire a toujours été le résumé du “bonheur intense”.
J’ai toujours été heureux qu’on me le souhaite depuis tout petit. Et puis j’ai grandi et j’ai organisé moi-même mes 18 ans dans une salle des fêtes avec un DJ s’était géant pour moi ! Etant né le 22 mai, c’était aussi le signe du dernier mois d’école, le dernier mois et après la délivrance, enfin ! La vie est belle le jour de son anniversaire !
C’est ton anniversaire, pas celui de ta mère
Et puis j’ai fêté mon “quart de siècle” aussi, 25 ans cela ne pouvait se fêter qu’en boite de nuit ! Quand on est jeune on se veut outrancier : “C’est MON anniversaire, regarde comme je suis bien entouré ! Même cette personne que je ne connais pas est là”. Ensuite j’ai fêté mes 26-27 ans avec un cercle d’ami(e)s de plus en plus petit, mais beaucoup plus solide (d’ailleurs la personne que je ne connaissais pas à mes 25 ans je ne la connais définitivement plus). Enfin les 28 ans et ma fiancée enceinte prête à accoucher à n’importe quel moment, fut le plus beau des cadeaux. Le cadeau de ma vie, la naissance de notre fille le mois d’après. C’est aussi à cette date où j’ai arrêté de fumer, de sortir et de boire beaucoup moins (et de me sentir physiquement beaucoup mieux).
Un anniversaire c’est une surprise avant tout
La fête d’anniversaire peut être une surprise que l’on s’attend et que l’on pré-organise pour être certain de la surprise ! La fête d’anniversaire peut être totalement organisée, en fonction des budgets des ami(e)s. Enfin surtout en fonction des ami(e)s pour être sûr qu’ils soient tous présents !
Et puis il y a les 30 ans.
La date ultime, cette date ronde, dont la dernière avait été les 20 ans. 20 ans où l’on se sent “vieux” car c’était le début de l’âge adulte. 30 signifie l’âge de la maturité, on est toujours jeune mais avec des responsabilités de vieux.
Des responsabilités de personnes matures, adultes, dont une autre vie s’est ouverte grâce à notre fille. 30 ans fut la date où je n’ai pas fêté mon anniversaire. Je ne l’ai pas fêté car je n’ai plus besoin de signes ostentatoires démesurés d’amitiés. En effet, j’ai créé à mes 28 ans quelque chose de bien plus fort ; une famille. J’ai troqué ma longue liste d’ami(e)s pour une plus courte celle d’une famille belle et épanouie.
Nouveaux objectifs
Mes aspirations ont également changé. Avant 30 ans je voulais rayonner devant un nombre conséquent de personne dont ma richesse s’évaluait au nombre de bouteilles que l’on pouvait acheter et boire en un weekend. Ma vie se résumait à une constante gueule de bois (pire celle du dimanche tellement mal que tu ne perds un jour à rien faire), les nombreuses conquêtes pour trouver l’élue (trouvé !), de longues discussions de comptoir pour refaire le monde (mais dimanche tu es tellement mort que la motivation s’évapore aussi vite que les souvenirs de la veille) et de fontaine à étincelles autour des bouteilles.
fêter ses 30 ans
Aujourd’hui j’ai un but de longue durée (15-20 ans) celui d’être un exemple, non pas pour des ami(e)s mais pour ma fille. Qu’elle puisse trouver en moi, un homme équilibré, qui réussit et qui peut offrir un monde sécurisé où tout est possible !
Alors qu’est-ce que ça fait d’avoir 30 ans ? Eh ben ça fait que je n’ai pas besoin de fêter mon anniversaire. Je n’ai plus besoin de travailler pour sortir le weekend et être heureux qu’un instant. Cet état de bonheur que je ressentais à mes anniversaires, je le ressens chaque matin quand je vois les deux personnes que j’aime se réveiller auprès de moi.
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Dans mon étude régulière du cerveau on m’a conseillé de lire ce livre : Le charme discret de l’intestin : tout sur un organe mal aimé. En effet, il parait que nous disposons d’un deuxième cerveau et il serait logé au milieu de notre corps ici dans notre ventre. Ma curiosité a été piquée, les pages se sont lues d’une rapidité incroyable.
Il faut bien admettre, le sujet est spécial. Mais surtout la manière dont s’est expliqué est un vrai tour de bras. L’auteur, Giulia Enders nous démontre qu’il y a bien un lien fort et durable entre notre cerveau et notre estomac. Giulia arrive à très bien vulgariser la complexité malgré la jeunesse de ce domaine d’étude. On découvre l’impact des microbes dans notre estomac, sur notre perception de la nourriture et des maladies qu’ils développent. Elle nous donne une tonne d’informations avec humour et sans complexité, un vrai régal !
L’intestin notre deuxième cerveau
Dans cet ouvrage nous apprenons que nous avons cette faculté (plutôt rare dans le domaine animal) de pouvoir vomir. Seul les chats, chien, Homme, souris et quelques autres animaux, vomissent. Un cheval, s’il mange de l’herbe qui l’empoisonne, le simple fait de ne pas pouvoir vomir, sa digestion développera des toxines qui finiront par le tuer.
Le mal de mer expliqué
Giulia explique, comme un videur devant une boite de nuit, certaines enzymes savent que des « individus » toxiques entre dans le ventre. C’est seulement à partir d’une certaine quantité que les videurs disent « tout le monde dehors ! » et nous avons le réflexe émétique.
Lorsque nous avons le mal des transports c’est simplement que nos enzymes envoient un message au cerveau pour dire que l’estomac n’a pas mangé quelque chose de bon. Notre corps sonne l’alerte empoisonnement alors que pour le coup, c’est un problème de perspective entre la vision et la sensation de se mouvoir.
La flore intestinale
L’auteur nous explique également que la « flore intestinale » n’est pas le bon terme. Dans le passé nous ne savions pas ce qu’était des bactéries alors on les a rangés dans les plantes (faune = animaux ; flore = végétaux). On ne parle plus de flore intestinale mais plutôt de microbiote et de microbiome.
Et c’est là que Giulia entre en jeu. Pour nous parler de ce qui sort de notre corps avec tout l’intérêt que porte un gastro-entérologue, l’auteur nous explique simplement qu’un gramme de caca correspond à des résidus génétiques de milliard de bactéries. Les bactéries sont beaucoup plus petites que nos cellules et c’est pourquoi nous avons plus de bactéries sur le corps que de cellules qui nous compose.
Est-ce grave ? Non car la Nature est très bien faite. Les bactéries et notre corps travaillent en symbiose, profitant des bénéfices de chacun pour continuer de vivre. Nous n’avons pas des bactéries uniquement dans le ventre mais bien partout sûr et dans le corps, idem dans les poumons alors que cela nous viendrait pas à l’esprit.
Les bactéries et notre corps
C’est dans l’intestin où se déroule le camp d’entraînement pour nos globules blancs. Elle explique très bien, dans ce foisonnement intense (plus de 1000 espèces différentes de bactérie vivent dans notre ventre) qu’elles doivent être capables de différencier une cellule du corps d’une cellule étrangère type scarlatine. En page 323, 60% des bactéries dans notre ventre sont encore inconnues ! Avis aux dossiers de recherche, il y a encore du pain sur la planche !
La compréhension du rôle de toutes ces bactéries apportera des connaissances majeures dans la guérison d’un nombre important de maladies et de cancers. Certaines bactéries ont des pouvoirs incroyables fonctionnant en symbiose avec notre système immunitaire. Par exemple, Helicobacter pylori nous protège du cancer du poumon. En effet, des tests prouvent que sans cette bactérie dans le ventre, le taux de cancer du poumon augmente de manière significative. Cependant, cette même bactérie est aussi responsable du cancer de l’estomac… Tu comprends mieux l’enjeux de comprendre leurs mécanismes.
Le ventre centre des décisions
Quel point commun entre un homme roulant à 100km/h et percute un platane, d’une femme qui se taille les veines dans un magasin avec une lame de rasoir et d’une souris qui se baigne dans l’urine de chat (les souris sont naturellement programmées pour éviter les odeurs de chat) ; la toxoplasmose contrôle notre esprit comme une manette contrôle voiture télécommandée.
toxoplasma_gondii_micro
Cette bactérie a une vie assez incroyable car elle se reproduit dans le ventre du chat. Et une fois expulsée du chat, comment faire pour retourner dans le ventre d’un chat ? Il suffit d’attendre qu’une souris passe à côté d’une crotte de chat, la toxoplasmose va alors entrer dans le corps de la sourie. Ainsi, la bactérie va fabriquer des enzymes pour inhiber la peur de la souris sur ses récepteurs olfactifs. Enfin, la souris désinhibée (comme ma voisine au soir de Noël) va alors être moins attentive aux prédateurs. Une fois mangée par le chat, la toxoplasmose se retrouve bien au chaud dans le ventre du félin.
Lorsqu’un Homme a des toxoplasmoses dans le corps, il est prouvé que ce sont des hommes et des femmes qui prendront plus de risque (exemple de l’homme qui roule à 100km/h loupe le virage et s’écrase contre un platane). Et si la personne est suicidaire alors le passage à l’acte sera accompli plus rapidement… (exemple de la femme dans le magasin avec la lame de rasoir).
Les bactéries au centre de notre humeur
On vient de le voir, une toxoplasmose qui provoque au pire des cas l’équivalent d’un rhume peut avoir des conséquences plus dramatiques sur notre vie (je ne parle pas des femmes enceintes où la toxoplasmose a répercussion très grave sur le fœtus en développement). Les bactéries ont également un rôle sur notre humeur. Nous mangeons pour nourrir nos bactéries. Par conséquent, ce sont nos bactéries qui nous dictent ce que nous voulons manger. En page 87, le fait que notre estomac digère mal le le fructose, le sucre des fruits, peut induire des comportements dépressifs chez l’Homme.
Penses-y avant de commencer un régime, votre régime va impacter une population de plusieurs milliards de bactéries. Si tu ne les nourris plus comme avant, elles ne vont pas être contentes, et vont pas t’aider à digérer correctement. C’est la raison pour laquelle un régime met du temps avant de voir des résultats. Car les bactéries s’adaptent constamment.
Les antibiotiques ce n’est pas automatique
Grâce à cet ouvrage j’ai saisi encore plus l’importance de ne pas utiliser d’antibiotique. Le médicament ravage également tout le microbiote (l’ensemble des bactéries). La meilleure défense ce sont les bactéries contre les bactéries. En effet, nous pouvons avoir des traitements « probiotique » ça signifie « apporter la vie ». On ingère des micro-organismes pour prendre la place, battre, et aider les bactéries déjà présentent. De plus, nous pouvons avoir un traitement « prébiotique ». Cela permet d’apporter les ressources énergétiques pour les bactéries en question. Bref, avec les avancées technologiques dans ce domaine, notre ventre n’a pas fini de nous surprendre !
Il était une fois la vie
(clic sur l’image pour voir un épisode !)
Je recommande vivement ce livre pour tous les curieux. Notre ventre et ce qu’il referme a tant à nous apprendre. J’adore le style d’écriture, venant directement de « Il était une fois la vie », ce dessin animé que je regardais quand j’étais enfant. L’anthropomorphisation des bactéries, des cellules, a du bon pour nous aider à mieux comprendre les fonctionnements et les mécanismes sous-jacents. En fait l’organe estomac est comme le cerveau et les bactéries qui le composent sont comme les neurones de ce cerveau.
Dans le même esprit, la vie dans un monde minuscule, j’avais lu Sperm Wars : Les secrets de nos comportements amoureux. Il est question justement d’hormones, et notre comportement de séduction en est très souvent dicté par celles-ci. C’est incroyable comment le monde minuscule, agit, se défend, met en place des stratégies gagnantes en fonction du résultat voulu.
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Un petit point sur le Miracle Morning commencé le 13 novembre 2016. Cela fait 5 mois jour pour jour que j’ai commencé. Selon l’auteur il ne faut pas faire de faux écart durant 30 jours. Ce que j’avais totalement réussi. Mais ce n’est pas suffisant, notre rythme est encore plus difficile à changer que n’importe quelle addiction à soigner. En effet le meilleur moyen de changer d’habitude est d’en créer de nouvelle. Encore faut-il que ton cerveau sache que c’est une nouvelle habitude et non pas un délire passager !
Rythme musical
Garder le rythme c’est garder la même fréquence constamment. Avons-nous des vies robotisées ? Comme dans ce billet, je mentionnais le fait que je n’aimais pas avoir de routine. Difficile de garder un rythme quand on est comme ça.
Réveil ⏰ à 5h45
Hier j’ai remarqué que la difficulté de se lever se résumait à uniquement quelques secondes. De la position allongé à la position debout voilà où réside toute la difficulté. Pourtant cette action ne nécessite pas d’effort intense pendant une longue durée. C’est un effort mais uniquement de quelques secondes.
Il est difficile de se lever tôt car l’effort n’est pas physique. Comme je viens de l’expliquer se déplacer d’une position à l’autre n’est en rien atroce. En revanche les barrières mentales, elles, arrivent à bloquer le corps entier et le laisser léthargique.
Créer un instant magique
J’ai fini par me lever, brosser les dents, enfiler un survêtement et mes baskets. J’ai décidé de changer de parcours. J’en ai marre de faire le même trajet et de courir autour d’un terrain d’athlétisme. Je vais aller dans une direction que je ne prends jamais.
Je me retrouve à l’entrée d’une forêt, un nouveau lieu. J’étais accompagné par des chants de centaines d’oiseaux. L’instant était magique. Les instants sont souvent forts lorsque c’est l’aube.
Il n’y a personne, tu sens l’énergie de la nature se réveiller. Tu vois l’évaporation lente et fumeuse qui se dégage d’un champs. La fuite de la lune rattrapée par le soleil.
Je découvre une rivière, je m’y assoit, écoute l’eau ruisseler mélangé par le fond continu des chants d’oiseaux que peuple cette forêt. Voilà un rythme qui me convient. Je prends le temps de respirer profondément et d’entendre les pulsations de mon coeur diminuer, apaisé.
Généralement c’est parce que tu passes une nuit blanche que tu vois le soleil se lever. Peut-être que c’est ça ma nouvelle définition de la maturité : se lever assez tôt pour voir le soleil se lever.
Je suis revenu à pied, apaisé, et la forte envie de faire découvrir ce nouveau lieu à celles que j’aime.
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Le plus souvent j’écris dans les transports en commun. Mais il m’arrive aussi de consacrer des journées entières à l’écriture. En exclu, je t’invite dans mon intimité d’un jour de congé (oui je ne suis pas écrivain à plein temps j’ai un métier à côté !).
J’ai écris une sorte de planning pour apprenti écrivain, allé c’est parti !
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Ecrire une histoire c’est un début, un milieu et une fin. Processus vital infini qui anime tout ce que l’on voit. Je dois dire que pour l’écriture de mon roman j’ai été beaucoup influencé par la musique (c’est l’une des raisons que je les citent directement dans mon ouvrage pour plonger le lecteur dans les mêmes ondes sonores que moi). Si je devrais apporter une révolution dans les livres numériques serait l’ajout de données multimédia dans les écritures qui permettront d’illustrer l’histoire, mais ceci est un autre sujet.
La musique a un rôle social, en partageant ses playlists ou ces musiques du moment. La musique a un rôle introspectif également, qui permet de s’imaginer des scénarios. La musique classique me fait imaginer des scènes de guerre, de famine, mais aussi le bonheur d’un été calme assis dans l’herbe fraîche bercée par un vent innocemment léger. La house me fait imaginer dans un milieu social dans lequel je suis reconnu, la trap me donne envie de danser et de casser les murs autour de moi comme un exutoire. Les chansons de Justin Timberlake c’est pour séduire, le rap c’est pour impressionner les potos !
Ludo, quelle musique écoutes-tu ?
Pour ainsi dire, j’écoute tous les genres musicaux qui existent. Je n’aime pas tout mais j’aime un peu de tout.
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Nous pouvons nous retrouver dans un endroit dont notre seule présence peut satisfaire une personne.
Nos actions aussi minimes soit elles, ont un impact. Comme M. Jourdain faisait de la prose sans se rendre compte, nous nous avons une aura, notre présence à elle seule peut suffire. L’arthérapie, semble croiser le soin (se rendre utile) et l’art (le beau), d’où son attrait sympathique.
Effet papillon
Aujourd’hui nous portons tous un papillon sur notre chemise, l’assemblée dans un jardin composée d’une vingtaine de personne constitue l’effet papillon.
Nous sommes tous des aimants. Nous attirons le positif et nous rejetons le négatif. Les trahisons nous font comprendre nos erreurs et l’union nous apporte des vérités. Le corps guérit-il mieux lorsqu’il est en mouvement plutôt qu’être alité ?
La vérité
La vérité, le savoir, nous ouvre des portes dans l’exploitation de nos capacités. Je parle au tant sur un point de vue professionnel au tant dans la guérison d’une longue maladie.
Aujourd’hui c’est l’humain qui est mis en avant, l’art n’est que matériel. Le matériel n’est pas important, l’artherapie est le lien de l’importance entre l’humain et le matériel.
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