Voici mon blog personnel. Intelligence artificielle, marketing digital sont les sujets les plus souvent abordés.

Étiquette : concentration

Challenge 24 heures de jeûne hebdomadaire

Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.

Le jeudi 10 mai je m’étais fixé un nouveau challenge ; celui de ne pas manger pendant 36 heures d’affilées toutes les semaines. Cependant, je me suis autorisé toutes les boissons (hors shaker de protéine évidemment). Pour que l’expérience semble complète, j’ai voulu le faire pendant 4 semaines (donc 4 jeudis).

Je ne l’ai pas fait pour des raisons de régime ou perte de poids. J’ai lu à plusieurs reprises, un peu comme la méditation, que le jeûne hebdomadaire favoriserait la concentration, la productivité voire une sorte de purification de l’intérieur. Exactement comme pour la méditation, je préfère expérimenter par moi-même pour m’en faire un avis solide. Je vais te raconter mon ressenti sur chaque jour.

Challenge : Premier jour de jeûne

Jeudi 10 mai

C’est mon premier jour, je me lève il est 5h15, je n’ai pas manger depuis hier 20h. J’ai toujours faim le matin, et ce matin n’en déroge pas la règle… Mais je pense que le plus dur sera à midi.

14h30

J’ai eu très faim à midi, mais là depuis 30 minutes la sensation est passée. J’ai toujours faim mais moins. La sensation d’écœurement à pris le dessus sur la faim. Je pense que mon rythme circadien me dit « passé les 14 heures tu ne manges pas alors je considère que tu as déjà mangé ». J’ai bu deux cafés ce matin avec un sucre et pratiquement un litre d’eau en cumulé. C’est étonnant mais je n’arrive pas à savoir si je vais tenir jusqu’à ce soir ou demain tant c’est difficile. D’ailleurs, seulement quelques heures sans manger et je ne fais que penser aux personnes dans le besoin qui contrairement à moi, n’ont pas choisi de ne pas manger.

17h30

Pour ceux qui ne me connaisse pas, je mange toujours un goûter à 16h30 voire 17h30. A 16h nous étions au parc et ma fiancée à manger une crêpe au Nutella autant dire que ça été extrêmement difficile.

crêpe_nutella_jeûne

Mais j’ai tenu le coup. En revanche, ma sensation de faim s’est transformée en sensation d’écœurement. Une sensation d’envie de vomir mélangée à la sensation de faim. J’ai la gorge sèche, je sens que mon corps brûle de l’eau. Je bois beaucoup d’eau, beaucoup plus que d’habitude. Nous sommes une semaine avant le ramadan et les musulmans n’ont pas le droit de boire, ce qui doit être vraiment très difficile…

19h30

Je suis à bout, j’en ai marre de boire de l’eau. Je suis assis au sol dans la cuisine. Je me sens faible, et deux solutions s’ouvrent à moi. Soit je dors maintenant et je pense peut être réussir mon défi, soit j’attends encore 30 minutes pour manger et j’aurais tenu 24h00. Pour un premier jeûne ce n’est peut-être pas si mal, et puis l’odeur de la quiche dans le four est insupportable.

20h, une explosion de saveurs !

C’est bon je craque, je prends une bouchée, la sensation est incroyable. Je ne pensais pas visualiser aussi bien ce qui se passe sur ma langue ! Lorsque je mâche ma salade, je ressens l’eau qui sort par la pression de mes dents, c’est jouissif ! Mon assiette terminée, l’effet « sensationnel » a déjà disparu.

Challenge : Deuxième jour de jeûne

Jeudi 17 mai

Hier j’ai mangé mon dessert à 20h comme la semaine dernière. Ce matin je suis motivé et décidé à réussir mon objectif.

14h

Comme la semaine dernière j’ai trop faim et j’ai soif. Je sens que mon corps ne tape pas dans les réserves, il recherche de l’eau ! En tout cas pour ceux qui veulent maigrir en ne mangeant pas c’est faux. Ce matin j’ai bu deux verres de jus de fruit en pensant que le sucre contenu me fera tenir plus longtemps. Mais j’ai davantage soif, comme si j’avais fait chauffer un brasier qui demandait encore plus de ressource maintenant ! Je vais m’en tenir à l’eau.

17h

C’est l’heure du supplice pour moi, c’est extrêmement difficile de résister aux tentations. Depuis ce matin je pense aux personnes qui n’ont rien à manger. Là je parle de « tentation » alors que j’ai fait le choix de mon plein gré de ne pas manger. Je ne devrais donc pas parler de « tentation » en tant que tel. Mais d’un côté j’ai accès à une quantité incroyable de saveur, de mets, de tout ce que je veux. Qu’est-ce qui est le plus dur ? D’avoir le choix et de ne rien prendre, ou de ne pas avoir le choix du tout ?

20h

Ma fiancée travaille et finit tard ce soir. J’ai préparé à manger et j’ai la même sensation d’envie de vomir et faim en même temps. Elle va rentrer à 22h, je me sens de plus en plus faible. Idem que la semaine dernière, je dois aller me coucher maintenant et je réussirai mon défi. Socialement je dois l’attendre.

22h

Le repas est aussi un moment social, je ne veux pas perdre ni ma santé ni mes rapports aux autres. Ce sont pour ces raisons que j’ai tenu 26 heures pour cette deuxième expérience.

Challenge : Troisième semaine, troisième jour de jeûne

Aujourd’hui ça va être tout aussi compliqué que les autres jours. J’assiste toute la journée à un événement professionnel.

Pour résumer, le midi j’ai mangé seulement une verrine, ce qui m’a calé une dent. Certes j’ai triché mais je n’ai pas mangé un vrai repas non plus. L’heure du goûté a été très difficile mais j’ai tenu et le soir j’ai mangé à 20 heures, pour faire le tour du cadran comme les autres semaines.

La nourriture est vitale et sociale. Comme nous sommes en période de Ramadan, je me rends compte de la difficulté. Je ne jeûne pas tous les jours. Seulement un jour et mon abstention est plus longue, en revanche j’ai le droit de boire et ça c’est déjà pas mal !

Néanmoins nous partageons un point commun. Je ne tient pas le soir car je mange avec ma fiancée. Et il est vrai que les musulmans se réunissent pour manger. Je pense que se retrouver pour manger est dans l’ADN des Hommes.

Il est plus facile de jeûner seul et extrêmement difficile de ne pas manger devant des personnes qui mangent. Et réciproquement, lorsque nous sommes plusieurs à une table, nous proposons volontiers et naturellement de partager à une personne qui ne mange pas.

Quatrième semaine, quatrième jour de jeûne

Mon bilan sur ce premier « mois », j’ai donné de la nourriture plus souvent à des personnes dans la demande. En effet, on ne s’habitue pas à cette sensation de faim, celle qui vient après plusieurs heures. Concernant la productivité, je n’ai pas développé une meilleure concentration ou une meilleure performance. En revanche, je me sens plus nerveux les jeudis car mon corps est en demande.

Arrivé en fin de journée, après 16h, je me sens très faible. Je sais que je ne peux pas courir 3 kilomètres par exemple. Je sens que mon corps veut s’économiser. Je tremble et j’ai plus souvent froid. En fait, je ressens un peu plus ce que mon corps me dit.

Je ne continue pas l’expérience. En effet, j’ai remarqué que mon stress augmentait déjà le lundi au mercredi car je pensais au jeudi prochain. Mon but dans la vie est de limiter toute sorte de stress.

Les points positifs

  • j’ai donné plus souvent aux personnes nécessitantes
  • plus de tolérance en période de Ramandan et aux SDF (j’ai ressenti une certaine culpabilité de manger en pleine rue)
  • mes urines étaient plus claires, sans doute parce qu’il y a moins de « déchets »
  • nous mangeons rarement seuls et nous partageons naturellement avec nos plus proches (Macdo travaille un insight psychologique très puissant depuis des années !)

Ce que je retiens

  • on ne perd pas de poids, notre corps utilise l’eau en premier recours
  • je n’ai pas de concentration supérieure à d’habitude
  • on ne s’habitue pas à cette sensation de faim, c’est un signal d’alerte corporel
  • je souffre de plus de stress, plus nerveux, je crois que l’expression « avoir les crocs » à tout son sens

Deep Work – retrouver votre concentration

Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.

Nous voilà en 2018 et c’est parti pour un nouveau défi !

Alors oui je n’avais pas réussi mon dernier défi mais il y a eu d’autres victoires. Dans le but de m’améliorer toujours un peu plus, l’une des méthodes est de persévérer en fournissant plus d’effort dans un domaine où l’on est déjà bon plutôt que de se forcer à améliorer une faiblesse.

C’est pourquoi je choisis de lire, au minimum, un livre par mois. Chaque mois, chaque fin de livre, je ferai un résumé en prenant 2 ou 3 idées percutantes de l’ouvrage.

Pour ouvrir le bal, on m’a offert Deep Work à noël. Une grande source de plaisir et d’information sur un domaine que je connaissais mal. Ce livre parle de comment entrer dans une concentration profonde afin de fournir un travail d’exception (the flow).

À vrai dire, j’ai développé mes propres techniques de concentration optimale pour fournir un travail de qualité. Je l’ai précédemment expliqué dans ce billet. Voici en substrat de quoi traite ce livre.

La concentration, clé de la réussite

Selon Cal Newport, il existe 3 types de personnes qui réussissent dans la vie :

  1. Les personnes qui ont la capacité à maîtriser rapidement les choses difficiles
  2. Ceux qui sont (déjà) superstar dans leur domaine
  3. Les autres, ceux qui ont accès aux capitaux

Si tu ne fais pas parti des catégories 2 et 3 alors tu as la possibilité de rentrer dans la première catégorie. Pour pouvoir maîtriser un domaine que tu ne connais pas, il te faut deux choses : de l’attention et du temps.

L’ensemble de la connaissance est proportionnel au produit de l’attention par le temps
Idriss Aberkane – Libérez votre cerveau

L’attention, plus elle est profonde, plus tu apprendras intensément/rapidement. Mais sans y consacrer du temps, malheureusement tu ne pourras pas apprendre grand-chose. En soi, nous sommes capables d’apprendre n’importe quel domaine. Même les plus complexes, à partir du moment où nous décidons nous-mêmes de se motiver pour cela et que nous y sommes confrontés. Cette citation de John Locke résume fort bien cet argument.

Chaque situation nouvelle, chaque problème à résoudre amène avec lui l’opportunité rare d’apprendre quelque chose de nouveau. – John Locke

La concentration dans le milieu professionnel

Le travail en profondeur est de plus en plus précieux, tout en se faisant de plus en plus rare. En effet, les entreprises ne mettent pas à disposition le cadre idéal pour une concentration profonde. D’une part, nous trouvons de plus en plus d’open office, le bruit et le passage ne favorisent pas du tout la concentration. D’autre part, il n’existe pas ou très peu de formation, d’aide, à l’obtention des compétences pour arriver à une concentration optimale. Les entreprises ne misent pas du tout sur l’amélioration des capacités de travail de leurs collaborateurs.

Le travail en profondeur est de plus en plus précieux, tout en se faisant de plus en plus rare.

C’est dommage, car l’entreprise perd une force majeure de ses travailleurs. Et ces individus n’ont pas l’efficacité rêvée et s’épuisent à la tâche, créant par la même occasion des troubles physiques et psychiques qui, de facto, augmente le nombre d’arrêts de travail. Ce qui est dommage est aussi une opportunité pour ceux, qui justement prennent conscience de cet état de fait, pour travailler de manière intensive et faire clairement la différence avec leurs collègues !

Comment améliorer sa concentration

Selon l’auteur il y a 2 composants essentiels ;

  • ton attention est centrée sur une habilité bien précise
  • recevoir un retour permet de se corriger rapidement

Focus

Pour le premier point cela signifie que tu ne dois pas avoir de distraction lors de ton travail. Pas du tout. Aujourd’hui, nous vivons dans l’ère des réseaux sociaux. Selon l’auteur, ce sont les meilleurs outils pour limiter gravement la production des travailleurs. Le fait d’être constamment sollicité ne permet en aucune manière de rentrer fermement dans une concentration intense.

Il cite des méthodes de plusieurs personnes qui ont travaillé de manière intense. On voit le retrait dans une cabane dans la forêt, à un aller-retour New-York/Tokyo sans escale. La personne étant enfermée dans un avion pendant 16 heures n’avait pas accès aux notifications. Son mode de vie s’est résumé à travailler, manger, travailler, dormir, travailler… Tu as compris.

Feedback

Pour le deuxième point, il explique que l’Homme a besoin de contact avec ses pairs. En effet, avoir un mentor permet d’avoir une source de critiques constructives de ses travaux et ainsi contribue à l’amélioration de ceux-ci. Il explique ainsi, qu’après une longue période de concentration il est tout à fait nécessaire de partager ses travaux pour prendre les conseils de son entourage.

En effet, des savants comme Einstein, passait considérablement du temps enfermé dans leur bureau sans aucun contact externe. En revanche, Einstein entretenait beaucoup de lettres avec d’autres savants (les e-mails de l’époque quoi). Ainsi, il se montrait disponible avec ses pairs pour discuter de sa théorie. Le mixte des deux est un point fondamental à la réussite de ces hommes.

Une nouvelle vision de la motivation

Pour conclure, je me rends compte que la concentration profonde créer une expérience du travail. Et plus elle est profonde et plus elle nous touche au fond de nous. Ainsi, travailler de cette mesure donne du sens à ce que l’on fait. Je m’explique, M. Newport reprend les travaux de Winifred Gallagher (1) (notamment de son livre RAPT), dont sa théorie se résume ainsi : les choses qui sont importantes sont celles à qui l’on prête le plus d’attention. En somme, rien n’est important sauf les choses pour lesquelles elles le sont pour soi-même.

Et si on additionne avec la théorie de Mihaly (2) ; notre cerveau a besoin de défi. C’est-à-dire, l’expérience optimale passe dans la concentration intense (qui provoque un sentiment de profondeur). Il fait allusion à cette concentration, comme quand l’on voit un enfant hyper-concentré, qui ne répond pas quand on l’appelle.

1 +2 = bâtir sa vie professionnelle autour de l’expérience optimale générée par le travail en profondeur est la voie assurée vers la satisfaction profonde. Enfin, donner du sens à ce que l’on fait est beaucoup plus important que de choisir un métier en fonction de ses tâches.

Ma répartition du travail avant que je ne considère mes priorités personnelles
Ma répartition de mon temps de travail par semaine, l’éducation de ma fille est prioritaire

Je te laisse méditer sur cette dernière phrase, dis-moi sur les réseaux sociaux ce que tu en penses de ce nouveau format. Si tu as des lectures à me proposer je suis preneur.

Un an de méditation

Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.

Je médite depuis un an

Maintenant je peux affirmer que j’ai passé 42h de ma vie à méditer. 193 séances à essayer de ne pas penser. Nous méditons tous un peu chaque jour même sans se rendre compte. Certain appelle « pilotage automatique », parfois nous posons notre regard sur « rien » et nous ne pensons plus à rien, le vide complet. Cet instant est relativement très court 1 ou 2 minutes pas plus. On laisse échapper un soupir profond et on reprend notre activité.

Cet instant si bref mais si intense est la quintessence de la méditation. Pour d’autres c’est la randonnée, marcher dans la nature pendant plusieurs heures, contempler le paysage permet de faire le vide. Le sport ou une activité de concentration intense comme le karting ou les échecs permet de rentrer dans une forme de « méditation ». Sans être très spirituel, mais en fait les éléments naturels nous pousse à entrer en méditation. N’as-tu jamais ressenti une profonde relaxation en regardant un feu ou le flot continu d’un ruisseau ?

Grâce à mes séances j’ai pu comprendre que ce type de méditation (pleine conscience), apercevoir ce que mon corps et mon esprit me demandent automatiquement.

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Pourquoi j’ai commencé la méditation

En décembre 2015, je vivais une situation personnelle ET professionnelle stressante. J’avais déjà vécu des pics de stress notamment lors de mes différents examens et concours par exemple. C’est surtout l’attente et l’avant-action que le stress bat son plein. En effet, c’est un réflexe défensif, nous anticipons un problème, notre corps se met en alerte. Et une fois l’action entamée et terminée, le stress retombe et s’en va. Sauf pendant cette période. J’avais beau passer à l’action, un souci réglé, je ressentais toujours du stress. Pas aussi intense que l’avant-action mais que je qualifiais de « stress résiduel ». Une sensation, légère mais permanente de stress au fond du ventre et de l’esprit qui me contrariait à chaque instant. J’ai lu alors que la méditation pouvait permettre de mieux se sentir c’est comme ça que j’ai débuté.

Pourquoi j’ai choisi l’application Zenfie

Un jour, je me trouve à la FNAC et je vois un livre sur la méditation qui coûtait 39€. Je me souviens du prix car je me suis dit que s’il était si cher c’est qu’il était de très bonne qualité. En le feuilletant je me demande si une application sur la méditation existe. Evidemment le Play Store en regorge beaucoup. Du coup je laisse tomber le livre et j’ai essayé plusieurs applications. Elles ont toutes une partie gratuite, et des compléments en payant. La plupart sont des applications de méditation pleine conscience.

La méditation pleine conscience c’est celle que nous faisons naturellement quand nous sommes scotchés à regarder un feu par exemple. Pour le cas d’une application, tu écoutes une personne qui te guide. Il suffit juste d’écouter et non pas entendre. Lorsque nous écoutons il y a une sorte de « lâcher-prise » alors que nous « entendons » nous jugeons ce que nous écoutons.

Pour le cas de Zenfie, tout d’abord, j’aime beaucoup la voix de Jean Doridot et en fait ça a fait la différence avec les autres applications (je ne parle pas pour les app anglophone, mon niveau ne me permet pas de bien comprendre, surtout sur ce genre de thème). Ensuite j’ai beaucoup apprécié le programme d’initiation. On commence avec des séances de 5 minutes, ce n’est vraiment pas grand-chose et puis au fur et à mesure la durée augmente et sa concentration aussi. Pour moi ça été une réussite !

La méditation pour tout le monde

Je ne compte pas m’arrêter. Souvent on me pose la question « est-ce que tu passes de meilleure journée lorsque tu médites le matin ? ». Pas forcément. Mais une chose est sûre, lorsque je ne me médite pas pendant 3 jours, j’ai l’impression que ma vie est « instable ». Il manque un équilibre, ça se traduit par un manque de chance, je loupe mon bus, j’arrive en retard (je ne le suis jamais), quelqu’un va mal me parler etc.

Je vais avoir plus d’actions négatives lorsque je ne médite pas. Voilà ce que j’ai remarqué, sinon ça ne change pas grand chose dans ma vie si ce n’est que je ne suis plus stressé comme auparavant.

Un conseil pour toutes les personnes qui hésitent. Comme dans le livre Effet Cumulé et Miracle Morning, d’une part, il faut se bouger et le faire et d’autre part il faut le faire graduellement. Ça ne sert à rien de vouloir faire 10 ou 15 minutes de méditation alors que tu vas rester concentré 1 minute maximum. Le mieux c’est de commencer soft et d’augmenter la durée. C’est pour ça que j’ai trouvé Zenfie efficace. D’autre part, je pense que c’est une activité que tout le monde devrait faire et notamment être enseigné dans les écoles (excellent article).

© 2023 Ludo LOUIS

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