Entrepreneur, blogger, marketer, écrivain, les anglos-saxons disent que je suis un « slasher ». Je suis aussi un geek compulsif qui se soigne grâce à sa dose de Twitter et Youtube matin et soir.

La musique raconte une histoire.

Ecrire une histoire c’est un début, un milieu et une fin. Processus vital infini qui anime tout ce que l’on voit. Je dois dire que pour l’écriture de mon roman j’ai été beaucoup influencé par la musique (c’est l’une des raisons que je les citent directement dans mon ouvrage pour plonger le lecteur dans les mêmes ondes sonores que moi). Si je devrais apporter une révolution dans les livres numériques serait l’ajout de données multimédia dans les écritures qui permettront d’illustrer l’histoire, mais ceci est un autre sujet.

La musique a un rôle social, en partageant ses playlists ou ces musiques du moment. La musique a un rôle introspectif également, qui permet de s’imaginer des scénarios. La musique classique me fait imaginer des scènes de guerre, de famine, mais aussi le bonheur d’un été calme assis dans l’herbe fraîche bercée par un vent innocemment léger. La house me fait imaginer dans un milieu social dans lequel je suis reconnu, la trap me donne envie de danser et de casser les murs autour de moi comme un exutoire. Les chansons de Justin Timberlake c’est pour séduire, le rap c’est pour impressionner les potos !

Ludo, quelle musique écoutes-tu ?

Pour ainsi dire, j’écoute tous les genres musicaux qui existent. Je n’aime pas tout mais j’aime un peu de tout.

Par exemple :

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